“Douillet” c’est un mot qui évoque la délicatesse, l’intimité, le raffinement, la tranquillité.
“Douillet” c’est un état d’esprit, la vision d’un vêtement respectueux et respectable, digne de notre héritage culturel et naturel.
“Douillet” c’est un hommage au bel-habit : aux matières nobles et locales, à la fabrication soignée et durable.
“Douillet” c’est une manière de porter un regard doux et apaisé sur son corps, son environnement, son prochain.
adj. "Qui est doux, confortable,
qui procure une agréable chaleur."
“Douillet” c’est un mot qui évoque la délicatesse, l’intimité, le raffinement, la tranquillité.
“Douillet” c’est un état d’esprit, la vision d’un monde respectueux et respectable, digne de notre héritage culturel et naturel.
“Douillet” c’est un hommage au bel-habit : aux matières nobles et locales, à la fabrication soignée et durable.
“Douillet” c’est une manière de porter un regard doux et apaisé sur son corps, son environnement, son prochain.
Faire bien, ici : des matières et des ateliers locaux.
La fabrication locale est pour nous une évidence.
D’abord, pour s’assurer que le “voyage” du vêtement est le plus court possible.
Ensuite, pour garantir une confection de qualité, dans les meilleures conditions.
Enfin, pour valoriser les acteurs de nos territoires et les savoir-faire régionaux.
L’origine des matériaux, la transformation, la confection : tout est (re)localisé, pour le mieux.
Porter la nature : des matières naturelles pour des beaux habits.
Nous aimons les matières nobles, à la fois brutes et délicates.
Correctement sélectionnées, ennoblies et assemblées, les fibres naturelles se transforment en une armure contemporaine, résistante, légère, évolutive.
C’est pourquoi nous avons choisi de travailler uniquement à partir des meilleures fibres naturelles locales.
Comme un hommage à la nature, nous tenons à honorer la matière première naturelle, à travers chacune de nos pièces.
Ré-générer : la circularité comme art-de-vivre.
Nous encourageons la circularité.
Le recyclage est affaire de bon sens. Nous créons du nouveau à partir de l’ancien. Ce qui était déchet devient ressource.
Cet état d’esprit est un hommage aux générations passées et un message d’espoir aux générations futures.
L’art de réparer, de recréer, de se renouveler se transmet à travers les époques.
Entrelacer le fil à l'infini : le tricot sous toutes ses formes.
Ouvrage hors-du-commun, le tricot est adaptable, agréable, délicat, fonctionnel.
Variable dans sa forme, sa textures, ses motifs, la maille est un univers créatif.
Nous aimons donner vie à des pièces uniques, innovantes, colorées desquelles on puisse se parer.
Nous voulons entretenir des relations durables et établir un réseau fort.
Voici les associations avec lesquelles nous partageons les valeurs fondamentales et dont nous sommes fiers de faire partie.
J’accepte de recevoir la newsletter Maison Douillet. Mon email ne sera jamais communiqué à des tiers.
© Douillet 2024
La relocalisation de la production est un impératif chez Douillet : origine des matières premières, transformation, fabrication, étiquetage, etc. – tout est relocalisé.
Si certaines étapes de fabrication nécessitent une expertise des pays frontaliers, nous acceptons cette réalité mais restons tout de même à la recherche des solutions les plus locales.
Notre idée est de travailler au plus proche.
Bref, nous voulons faire bien. Faire ici.
Nous utilisons une laine qui vient du Sud-Est de la France – plus précisément de la plaine de la Crau, steppe pastorale proche de la Camargue. Nous utilisons exclusivement la laine du mouton Mérinos d’Arles, reconnue pour sa finesse et ses propriétés exceptionnelles.
Il semble peut être évident d’utiliser la laine de chez nous pour fabriquer des vêtements. Pourtant, la plupart des laines actuellement sur le marché viennent d’Australie, d’autres de Nouvelle Zélande, Afrique du Sud, Argentine.
Le lavage de la laine est une étape cruciale, qui permet de débarrasser de son suint et de ses derniers dépôts végétaux la laine triée. Parfois occultée, quand est mentionnée la chaine de transformation de la laine, cette étape est néanmoins une composante essentielle de la transformation d’une toison en fil.
Les laines que nous utilisons sont lavées en Belgique, à Verviers, ancien pôle européen de la transformation de la laine ayant gardé quelques traces de son héritage industriel, ou en France, en Haute Loire, dans un lavage de plus petite taille.
Le lavage d’une laine fortement chargée en matière végétales, ou de mauvaise qualité, est parfois “carbonisée”, ou épaillée chimiquement, une méthode qui utilise de l’acide chlorhydrique. Les laines que nous utilisons ne sont pas lavées selon cette technique mais grâce au lavage traditionnel, au savon et au bicarbonate soude.
Pour transformer le fil lavé en un matériau filable, il faut paralléliser les fibres. La laine est donc cardée, afin d’obtenir une nappe de fibres correctement alignées et, dans certains cas seulement, peignée. Le peignage, en éliminant les fibres les plus courtes, permet d’obtenir des fibres plus longues, qui donneront donc un fil plus fin.
Une partie des laines que nous utilisons est cardée, l’autre est peignée. Ces deux opérations sont faites en France. Le cardage est effectué chez la Filature du Parc et le peignage chez Peignage Dumortier.
La filature est l’opération qui transforme les nappes de laines cardée ou peignées en fil. A partir d’un fil simple, on peut ensuite pratiquer le retordage : on assemble deux ou plusieurs brins de laine pour créer un fil final plus gros.
Les laines que nous utilisons sont filées dans le Tarn, à la Filature du Parc ou en Italie, à la filature Alpes Manifattura Filati.
La teinture est une opération qui peut être réalisée à différent moment de la “vie” d’un tissus : soit sur le fil, soit sur le tissus final. En teignant directement le fil de laine comme nous le faisons, on s’assure un maintient des couleurs durable.
Notre fil est teint chez la Filature Fonty, classée Entreprise du Patrimoine Vivant (EPV) implantée dans la Creuse et active depuis 1880. La teinture se fait sur un fil traité contre le feutrage et lavable en machine (Kroy-Ercosett), sans pré-blanchissement, sur un fil naturellement écru, avec des teintures synthétiques qui respectent les normes Européennes REACH – dont les feuilles de sécurité sont régulièrement contrôlées par les autorités françaises (Direction Départementale du Travail, Médecine du Travail). Les eaux de teinture sont traitées par la station écologique de traitement des eaux à base de rhizomes de la Filature Fonty.
Sur une des deux gammes de bonnets que nous proposons, la laine n’est pas teintée, la couleur est obtenue directement en sélectionnant les toisons des moutons.
Une fois la laine filée, elle peut être assemblée : soit tricotée, soit tissée. Le tricot consiste à assembler des boucles de laine les unes aux autres, créant ainsi une structure hautement extensible.
Nous avons choisi de commencer avec des articles tricotés – à Roanne dans la Loire – selon la technique du tricotage intégral. Le tricotage intégral – ou tricotage 3D – permet de créer un vêtement à partir d’une modélisation 3D – le vêtement est tricoté en une pièce, sans couture, comme s’il était “imprimé” par une imprimante 3D. Cette technique a le grand avantage de ne pas générer de chute de fil : contrairement à un assemblage classique (coupé-cousu) où il y a de la perte de matière, ici l’ensemble du fil est utilisé pour la confection du vêtement.
Les “accessoires” du vêtement importent aussi lors du processus de fabrication (étiquettes, broderies, etc.).
Nous utilisons des étiquettes tissées à partir de fil de polyester recyclé en France, à Saint Etienne.
Le lieu d’élevage des moutons détermine simplement d’où vient la matière première. Il semble peut être évident d’utiliser la laine de chez nous, pourtant dans le secteur de la mode, il est rare de trouver la laine locale. La plupart des laines actuellement sur le marché viennent d’Australie, d’autres de Nouvelle Zélande, Afrique du Sud, Argentine.
Nous utilisons une laine qui vient du Sud-Est de la France – plus précisément sur les plateaux de Saint Martin de Crau – issue de mouton de la race Mérinos d’Arles.
Le lavage de la laine est une étape cruciale, qui permet de débarrasser de son suint et de ses derniers dépôts végétaux la laine triée. Parfois occultée, quand est mentionnée la chaine de transformation de la laine, cette étape est néanmoins une composante essentielle de la transformation d’une toison en fil.
Les laines que nous utilisons sont lavées en Belgique, à Verviers, ancien pôle européen de la transformation de la laine ayant gardé quelques traces de son héritage industriel, ou en France, en Haute Loire, dans un lavage de plus petite taille. Le lavage d’une laine fortement chargée en matière végétales, ou de mauvaise qualité, est parfois “carbonisée”, ou épaillée chimiquement, une méthode qui utilise de l’acide chlorhydrique. Les laines que nous utilisons ne sont pas lavées selon cette technique mais grâce au lavage traditionnel, au savon et au bicarbonate soude.
Pour transformer le fil lavé en un matériau qui soit filable, il faut paralléliser les fibres. La laine est donc cardée, afin d’obtenir une nappe de fibres correctement alignées et, dans certains cas seulement, peignée. Le peignage, en éliminant les fibres les plus courtes, permet d’obtenir des fibres plus longues, qui donneront donc un fil plus fin.
Une partie des laines que nous utilisons est cardée, l’autre est peignée. Ces deux opérations sont faites en France, parfois dans les filatures, parfois chez un prestataire.
La filature est l’opération qui transforme les nappes de laines cardée ou peignées en fil. A partir d’un fil simple, on peut ensuite pratiquer le retordage : on assemble deux ou plusieurs brins de laine pour créer un fil final plus gros.
Les laines que nous utilisons sont filées dans le Tarn ou dans la Creuse, à la Filature du Parc ou à la Filature Fonty.
La teinture est une opération qui peut être réalisée à différent moment de la “vie” d’un tissus : soit sur le fil, soit sur le tissus final. En teignant directement le fil de laine comme nous le faisons, on s’assure un maintient des couleurs durable.
Notre fil est teint chez la Filature Fonty, classée Entreprise du Patrimoine Vivant (EPV) implantée dans la Creuse et active depuis 1880. La teinture se fait sur un fil traité contre le feutrage et lavable en machine (Kroy-Ercosett), sans pré-blanchissement, sur un fil naturellement écru, avec des teintures synthétiques qui respectent les normes Européennes REACH – dont les feuilles de sécurité sont régulièrement contrôlées par les autorités françaises (Direction Départementale du Travail, Médecine du Travail). Les eaux de teinture sont traitées par la station écologique de traitement des eaux à base de rhizomes de la Filature Fonty.
Sur une des deux gammes de bonnets que nous proposons, la laine n’est pas teintée, la couleur est obtenue directement en sélectionnant les toisons des moutons.
Une fois la laine filée, elle peut être assemblée : soit tricotée, soit tissée. Le tricot consiste à assembler des boucles de laine les unes aux autres, créant ainsi une structure hautement extensible.
Nous avons choisi de commencer avec des articles tricotés – à Roanne dans la Loire – selon la technique du tricotage intégral. Le tricotage intégral – ou tricotage 3D – permet de créer un vêtement à partir d’une modélisation 3D – le vêtement est tricoté en une pièce, sans couture, comme s’il était “imprimé” par une imprimante 3D. Cette technique a le grand avantage de ne pas générer de chute de fil : contrairement à un assemblage classique (coupé-cousu) où il y a de la perte de matière, ici l’ensemble du fil est utilisé pour la confection du vêtement.
Les “accessoires” du vêtement importent aussi lors du processus de fabrication (étiquettes, broderies, etc.).
Nous utilisons des étiquettes tissées à partir de fil de polyester recyclé en France, à Saint Etienne.
Nous avons fait des choix forts pour que nos vêtements soient faits d’un beau matériau.
Beau pour l’environnement ; beau pour celles et ceux qui les portent.
Les matières premières naturelles vierges que nous choisissons proviennent de France. En ce qui concerne les matières recyclées, nous sommes ouverts à travailler avec les pays frontaliers à la France*.
Cette proximité facilite la traçabilité, valorise les ressources locales, et évite des transports internationaux très polluants.
Notre première gamme est composée de Laine Mérinos d’Arles, une race de mouton – originellement Espagnole – implantée au Sud/Sud-Est de la France, vers Arles. Ces moutons, contrairement aux moutons Mérinos implantés en Australie, ne subissent pas de maltraitance animal (mulesing) et ne sont pas inclus dans des élevages intensifs.
*Les matières premières naturelles vierges issues de France sont : la laine, le lin, le chanvre, le cuir. Les matières premières naturelles recyclées en France ou dans les pays frontaliers (Italie, Espagne, etc.) sont : le coton, le lin, la laine.
Pour garantir des vêtements durables, nous avons décidé de travailler avec des fibres qualitatives. Les fibres naturelles, correctement transformées, offrent des qualités de douceur, de résistance, de respirabilité hors du commun.
La laine mérinos française que nous utilisons est un bon exemple de cette qualité : elle est très fine – donc douce – respirante, thermorégulatricte, elastique, etc.*
*Pour plus d’informations sur les qualités de cette fibre, n’hésitez pas à consulter les nombreuses ressources disponibles sur internet – notamment des sites Australiens comme Woolmark, ou des sites “d’investigation” (The Good Goods, Reset.eco, etc.).
Choisir des matières premières contrôlées c’est s’assurer des conditions d’élevage décentes, de l’absence de produits chimiques nocifs, etc. Pour proposer des vêtements respectueux, nous sommes attentifs à l’ensemble de la chaine de production.
Nous avons fait le choix de travailler avec des matières et élevages localisés en France et des matières non “sensibles” (comme la fourrure du lapin angora, le cuir, etc.). Les éleveurs de moutons Français ne pratiquent pas la maltraitance animale. Nous avons ensuite fait le choix de transformer nos matières en France ou dans les pays frontaliers, auprès de fabricants soumis aux normes Européennes. Le lavage de nos laines est réalisé en Belgique et n’est pas soumis au carbonisage. Les teintures de nos laines sont réalisées en France, dans une filature de 1880, classée Entreprise du patrimoine Vivant (EPV), respectant les normes européennes en vigueur (REACH) – Filature Fonty. Pour des prochaines collections, nous aimerions également nous tourner vers des matières végétales (Lin et chanvre), issues de France, dont la croissance nécessite peu d’eau et peu de pesticides.Le recyclage est l’avenir. Sous réserve de trouver des fibres recyclées ayant une qualité similaire aux fibres vierges, nous proposerons des articles produits à partir de matières recyclées, ayant un impact encore amoindri*.
Les matières comme la laine sont facilement recyclables, cependant lors du processus de transformation, les fibres produites sont généralement plus courtes que la fibre vierge originelle – et les fils résultants sont donc plus épais, pour un rendu moins doux. Pour compenser ceci, de nombreuses filatures fabriquent des fils “recyclés” dans lesquels sont ajoutés des fibres vierges. Nous cherchons exclusivement des matériaux 100% recyclés, et avons déjà identifié des laines entièrement recyclées – et qualitatives – utilisables dans nos prochaines collections.*Les fibres recyclées, ou régénérées, peuvent être issues de deux processus complémentaires : le “pre-consummer” consiste à utiliser des chutes de fils issus de précédentes fabrications pour fabriquer un nouveau fil. Le “post-consumer” lui consiste à générer des fils à partir d’anciens vêtements. Ces opérations permettent une diminution de l’empreinte écologique générée par la fabrication de fil.
Les matières premières naturelles vierges que nous choisissons proviennent de France. En cas de matières recyclées, nous sommes ouverts à travailler avec les pays frontaliers à la France*. Cette proximité facilite la traçabilité, valorise les ressources locales, et évite des transports internationaux très polluants.
Notre première gamme est composée de Laine Mérinos d’Arles, une race de mouton – originellement Espagnole – implantée au Sud/Sud-Est de la France, vers Arles. Ces moutons, contrairement aux moutons Mérinos implantés en Australie, ne subissent pas de maltraitance animal (mulesing) et ne sont pas inclus dans des élevages intensifs.
*Les matières premières naturelles vierges issues de France sont : la laine, le lin, le chanvre, le cuir. Les matières premières naturelles recyclées trouvables en France ou dans les pays frontaliers (Italie, Espagne, etc.) sont : le coton, le lin, la laine.
Pour garantir des vêtements durables, nous avons décidé de travailler avec des fibres qualitatives. Les fibres naturelles, correctement transformées, offrent des qualités de douceur, de résistance, de respirabilité hors du commun.
La laine mérinos française que nous utilisons est un bon exemple de cette qualité : elle est très fine – donc douce – respirante, thermorégulatricte, elastique, etc.*
*Pour plus d’informations sur les qualités de cette fibre, n’hésitez pas à consulter les nombreuses ressources disponibles sur internet – notamment des sites Australiens comme Woolmark, ou des sites “d’investigation” (The Good Goods, Reset.eco, etc.).
<p class=”p1″>Choisir des matières premières contrôlées c’est s’assurer des conditions d’élevage décentes, de l’absence de produits chimiques nocifs, etc. Pour proposer des vêtements respectueux, nous sommes attentifs à l’ensemble de la chaine de production.</p>
Nous avons fait le choix de travailler avec des matières et élevages localisés en France et des matières non “sensibles” (comme la fourrure du lapin angora, le cuir, etc.). Les éleveurs de moutons Français ne pratiquent pas la maltraitance animale.
Nous avons ensuite fait le choix de transformer nos matières en France ou dans les pays frontaliers, auprès de fabricants soumis aux normes Européennes. Le lavage de nos laines est réalisé en Belgique et n’est pas soumis au carbonisage. Les teintures de nos laines sont réalisées en France, dans une filature de 1880, classée Entreprise du patrimoine Vivant (EPV), respectant les normes européennes en vigueur (REACH) – Filature Fonty.
Pour des prochaines collections, nous aimerions également nous tourner vers des matières végétales (Lin et chanvre), issues de France, dont la croissance nécessite peu d’eau et peu de pesticides.
Le recyclage est l’avenir. Sous réserve de trouver des fibres recyclées ayant une qualité similaire aux fibres vierges, nous proposerons des articles produits à partir de matières recyclées, ayant un impact encore amoindri*.
Les matières comme la laine sont facilement recyclables, cependant lors du processus de transformation, les fibres produites sont généralement plus courtes que la fibre vierge originelle – et les fils résultants sont donc plus épais, pour un rendu moins doux. Pour compenser ceci, de nombreuses filatures fabriquent des fils “recyclés” dans lesquels sont ajoutés des fibres vierges. Nous cherchons exclusivement des matériaux 100% recyclés, et avons déjà identifié des laines entièrement recyclées – et qualitatives – utilisables dans nos prochaines collections.*Les fibres recyclées, ou régénérées, peuvent être issues de deux processus complémentaires : le “pre-consummer” consiste à utiliser des chutes de fils issus de précédentes fabrications pour fabriquer un nouveau fil. Le “post-consumer” lui consiste à générer des fils à partir d’anciens vêtements. Ces opérations permettent une diminution de l’empreinte écologique générée par la fabrication de fil.